Du sel aurait déjà été exploité au IVe siècle av. J.-C., lors de l'Antiquité, par les habitants de la cité antique d'Olbia. Les salins sont mentionnés pour la première fois en 963 apr. J.-C., dans une charte de l'empereur Conrad. Le 24 avril 1229, une charte accorde à la ville de Gênes le quasi-monopole de la production de sel hyérois. Des ouvriers saisonniers du nord de l'Italie viennent, chaque fin d'été, récolter le sel. Fortement concurrencés par les sels étrangers et par les productions camarguaises, ainsi que soumis à la pression de la gabelle, le sel hyérois perd peu à peu de sa valeur et, une à une, les productions disparaissent et se concentrent à l'emplacement actuel des Vieux Salins. Le salin ne fut créé qu’en 1848 et d’abord limité à la partie Nord afin de conserver la pêcherie.
Il est acheté par 2 commerçants toulonnais, Mrs GERARD et CHAPON, qui créent la Société des Salins et Pêcheries d’Hyères. Devenue Société GERARD et Cie, celle-ci sera revendue en 1967 à la Compagnie des Salins du Midi qui possédait alors déjà les Vieux Salins. En 1995, en raison de la concurrence trop forte et de l'entretien trop coûteux, la production de sel dans les salins cesse définitivement.
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Salin des Pesquiers.
Derrière la guérite, où se tenait le soldat qui montait la garde, le dortoir des 6 soldats. A gauche, le grand bâtiment était les logements des douaniers.
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Salin des Pesquiers.
Bureaux.
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Salin des Pesquiers.
Baraquement des ouvriers, et derrière, l'atelier de menuiserie.
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Salin des Pesquiers.
Magasin.
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Salin des Pesquiers.
L'entrepôt de conditionnement et stockage du sel.
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Salin des Pesquiers.
Pompes pour évacuer l'eau.
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Salin des Pesquiers.
Le canal d'évacuation.
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Salin des Pesquiers.
Le canal d'évacuation.
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Salin des Pesquiers.
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Salin des Pesquiers.
Grande aigrette.
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Salin des Pesquiers.
Grande aigrette.
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Salin des Pesquiers.
Grande aigrette.
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Salin des Pesquiers.
Grande aigrette.
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Salin des Pesquiers.
Grande aigrette.
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Salin des Pesquiers.
Grande aigrette.
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Salin des Pesquiers.
Flamants roses. Leur couleur vient des pigments caroténoïdes présents dans les algues et les crustacés qu'ils consomment.
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Salin des Pesquiers.
Flamants roses. Leur couleur vient des pigments caroténoïdes présents dans les algues et les crustacés qu'ils consomment.
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Salin des Pesquiers.
Flamants roses. Leur couleur vient des pigments caroténoïdes présents dans les algues et les crustacés qu'ils consomment.
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Salin des Pesquiers.
Flamants roses. Leur couleur vient des pigments caroténoïdes présents dans les algues et les crustacés qu'ils consomment.
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Salin des Pesquiers.
Flamants roses. Leur couleur vient des pigments caroténoïdes présents dans les algues et les crustacés qu'ils consomment.
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Salin des Pesquiers.
Flamants roses. Leur couleur vient des pigments caroténoïdes présents dans les algues et les crustacés qu'ils consomment.
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Salin des Pesquiers.
Flamants roses. Leur couleur vient des pigments caroténoïdes présents dans les algues et les crustacés qu'ils consomment.
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Salin des Pesquiers.
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Salin des Pesquiers.
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Salin des Pesquiers.
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Salin des Pesquiers.
Famants roses.
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Salin des Pesquiers.
Famants roses.
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Salin des Pesquiers.
Famants roses.
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Salin des Pesquiers.
Bécasseaux.
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Salin des Pesquiers.
Bécasseaux.
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Salin des Pesquiers.
Bécasseaux.
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Salin des Pesquiers.
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Salin des Pesquiers.
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Salin des Pesquiers.
Emplacement de la grande machine ou tympan, grande roue en bois qui fait monter l'eau sur les partènements extérieurs. Derrière, logements des ouvriers affectés à la grande machine.
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Salin des Pesquiers.
Vanne à crémaillère.
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Salin des Pesquiers.
L'ouverture s'appelle un canon.
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Salin des Pesquiers.
Jeunes flamands.
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Salin des Pesquiers.
Jeunes flamands.
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Salin des Pesquiers.
Site où on mettait le sel en camelles (tas).
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Salin des Pesquiers.
Site où on mettaint le sel en camelles (tas).
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Salin des Pesquiers.
Plaques de sel.
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Salin des Pesquiers.
Plaques de sel.
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Salin des Pesquiers.
Héron qui monte la garde.
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Salin des Pesquiers.
Ateliers mécaniques, entrepôts et garage.
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Parc Olbius-Riquier.
Le parc fut légué, par testament, à la mairie d'Hyères, par Olbius Hippolyte Antoine Riquier le 13 avril 1868. Le 14 juillet 1872, sur une idée conjointe de la municipalité et d'Albert Geoffroy Saint-Hilaire, alors directeur du jardin d'acclimatation de Paris, une convention est signée donnant à bail pour vingt-six ans le terrain du clos Riquier afin d'y créer un établissement où l'on pourrait cultiver, étudier et créer des espèces tropicales susceptibles de s'acclimater dans nos régions. Le « jardin d'acclimatation de Hyères (Var) Clos-Ricquier » était une annexe du jardin d'acclimatation de Paris.
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Parc Olbius-Riquier.
De nos jours, ce parc de sept hectares est à la fois un jardin d'agrément et un jardin botanique. Le parc Olbius-Riquier bénéficie du label « Jardin remarquable ». C'est dans ce parc que fut créée une des premières véritables palmeraies, à la fin du XIXe siècle, par Étienne Geoffroy Saint-Hilaire
