Monteux et Vaison-la-Romaine.

<center>Monteux. </center> La Porte Neuve. La construction des remparts de Monteux pourrait remonter au début du XIVe siècle. Les murs avaient 1,50 m d’épaisseur et 10 m de hauteur. Ils étaient flanqués, de distance à distance, de  tours  rondes ou carrées, couronnées de mâchicoulis et de créneaux, entourés d'un large fossé alimenté par les eaux du Lauzon
Ces murailles furent démolies en 1840. De ces remparts, il ne reste que la Porte d'Avignon, la Poterne de la Boucherie et la Porte Neuve ainsi que quelques murailles imbriquées dans les maisons du centre intra-muros et découvertes au hasard de travaux. Ce monument - autrefois Porte Notre Dame - était l'entrée Nord de la ville. Aujourd'hui, deux parties marquent distinctement deux époques. Le côté intramuros daterait du XVème Siècle. C'est au XVIIème siècle que la Porte fut remise en état puis doublée par l'adjonction d'une nouvelle porte, style renaissance, flanquée de meurtrières et surmontée des deux tourelles visibles du côté Nord. Elle prit alors le nom de Porte Neuve.
Monteux.
La Porte Neuve. La construction des remparts de Monteux pourrait remonter au début du XIVe siècle. Les murs avaient 1,50 m d’épaisseur et 10 m de hauteur. Ils étaient flanqués, de distance à distance, de tours rondes ou carrées, couronnées de mâchicoulis et de créneaux, entourés d'un large fossé alimenté par les eaux du Lauzon Ces murailles furent démolies en 1840. De ces remparts, il ne reste que la Porte d'Avignon, la Poterne de la Boucherie et la Porte Neuve ainsi que quelques murailles imbriquées dans les maisons du centre intra-muros et découvertes au hasard de travaux. Ce monument - autrefois Porte Notre Dame - était l'entrée Nord de la ville. Aujourd'hui, deux parties marquent distinctement deux époques. Le côté intramuros daterait du XVème Siècle. C'est au XVIIème siècle que la Porte fut remise en état puis doublée par l'adjonction d'une nouvelle porte, style renaissance, flanquée de meurtrières et surmontée des deux tourelles visibles du côté Nord. Elle prit alors le nom de Porte Neuve.
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<center>Monteux. </center> La Porte Neuve. Au premier plan, la partie du XVIIe siècle et derrière la partie du XVe siècle. Cette porte était défendue par un pont-levis jeté sur le fossé du rempart. On en a retrouvé les traces lors des récents travaux d'aménagement de la Place de la Glacière.
Monteux.
La Porte Neuve. Au premier plan, la partie du XVIIe siècle et derrière la partie du XVe siècle. Cette porte était défendue par un pont-levis jeté sur le fossé du rempart. On en a retrouvé les traces lors des récents travaux d'aménagement de la Place de la Glacière.
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<center>Monteux. </center> La Porte Neuve. Au cours de l'année 1854, la Municipalité programma la démolition de la Porte Neuve dans le cadre d'un vaste projet urbain. Ce dernier prévoyait la vente des terrains de l'ancienne Glacière située à l'Est de la Porte Neuve ainsi que la démolition de cette dernière. Finalement, sur pression de la population, le préfet autorisa le projet mais pas la démolition de la Porte Neuve : « LLa Commune veillera à l'intacte conservation des tours de la Porte Neuve et fera réparer la toiture qui recouvre cette porte. »
Monteux.
La Porte Neuve. Au cours de l'année 1854, la Municipalité programma la démolition de la Porte Neuve dans le cadre d'un vaste projet urbain. Ce dernier prévoyait la vente des terrains de l'ancienne Glacière située à l'Est de la Porte Neuve ainsi que la démolition de cette dernière. Finalement, sur pression de la population, le préfet autorisa le projet mais pas la démolition de la Porte Neuve : « LLa Commune veillera à l'intacte conservation des tours de la Porte Neuve et fera réparer la toiture qui recouvre cette porte. »
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<center>Monteux. </center> La Porte Neuve.
Monteux.
La Porte Neuve.
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<center>Monteux. </center> La Porte Neuve. Sous son porche, on rendait la justice et le notaire public y passait tous les actes. Sa voûte fut reconstruite en 1730.
Monteux.
La Porte Neuve. Sous son porche, on rendait la justice et le notaire public y passait tous les actes. Sa voûte fut reconstruite en 1730.
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<center>Monteux. </center> La Porte Neuve. En 2019, la commune a procédé procédé à des travaux d'étaiement de la voûte du monument. Il est à nouveau possible de traverser à pieds la Porte Neuve de Monteux.
Monteux.
La Porte Neuve. En 2019, la commune a procédé procédé à des travaux d'étaiement de la voûte du monument. Il est à nouveau possible de traverser à pieds la Porte Neuve de Monteux.
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<center>Monteux. </center> La Porte Neuve.
Monteux.
La Porte Neuve.
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<center>Monteux. </center> Ici sur cette place, près de la Porte Neuve, se trouvait un grand trou couvert dans lequel on entassait de la glace pendant l'hiver afin de pouvoir l'utiliser pendant la saison chaude. C'était la Glacière. Elle avait été construite à la fin du XVIIe siècle.
C'était un vaste puits en forme d'entonnoir creusé dans la terre. L'ouverture du haut avait plus de 6 m de diamètre et 10 m de profondeur. Les parois étaient en briques. Au fond, un dallage de pierres disjointes permettait l'écoulement de l'eau de fonte. Le toit était surmonté d'une épaisse couche de paille et d'une bonne épaisseur de terre. Une porte, en haut, s'ouvrait au nord pour le remplissage de neige et de glace en hiver. On couvrait de paille puis de planches chargées de grosses pierres. La glace pouvait être conservée pend
Monteux.
Ici sur cette place, près de la Porte Neuve, se trouvait un grand trou couvert dans lequel on entassait de la glace pendant l'hiver afin de pouvoir l'utiliser pendant la saison chaude. C'était la Glacière. Elle avait été construite à la fin du XVIIe siècle. C'était un vaste puits en forme d'entonnoir creusé dans la terre. L'ouverture du haut avait plus de 6 m de diamètre et 10 m de profondeur. Les parois étaient en briques. Au fond, un dallage de pierres disjointes permettait l'écoulement de l'eau de fonte. Le toit était surmonté d'une épaisse couche de paille et d'une bonne épaisseur de terre. Une porte, en haut, s'ouvrait au nord pour le remplissage de neige et de glace en hiver. On couvrait de paille puis de planches chargées de grosses pierres. La glace pouvait être conservée pend
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<center>Monteux. </center> La ville est très attachée à la statue de Saint Gens, Saint patron de Monteux. A l'issue du Grand Pèlerinage de Saint Gens en 2010, la statue de Saint Gens restaurée a retrouvé sa place face à la Porte Neuve, sur un socle entièrement aménagé en pierre du Beaucet (de la carrière de Saint Gens, au-dessus de l'ermitage). A ses pieds, une fontaine symb
Monteux.
La ville est très attachée à la statue de Saint Gens, Saint patron de Monteux. A l'issue du Grand Pèlerinage de Saint Gens en 2010, la statue de Saint Gens restaurée a retrouvé sa place face à la Porte Neuve, sur un socle entièrement aménagé en pierre du Beaucet (de la carrière de Saint Gens, au-dessus de l'ermitage). A ses pieds, une fontaine symb
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<center>Monteux. </center> Trompe-l'oeil.
Monteux.
Trompe-l'oeil.
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<center>Monteux. </center>
Monteux.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. Vers 1325, les pères Antonins (Hospitaliers de Saint Antoine) cédèrent la chapelle de leur couvent située alors au milieu du bourg aux habitants de Monteux. C'est autour de cette structure primitive et à partir de cette date que fut édifiée, par agrandissements successifs, et sur les ruines de l'ancien couvent des Antonins, l'église actuelle. La partie la plus ancienne de l'église correspond à la chapelle Saint Joseph d'aujourd'hui. Les chapelles furent élevées à différentes époques par les familles nobles qui y établirent leur sépulture.
L'église eut à souffrir considérablement des désordres de la Révolution. En 1827, la Commune fit masquer la toiture par la voûte actuelle en plâtre. Mais c'est à cause de la rareté de sa charpente dans le Sud-est de la France, qu'elle fut inscrite au titre des monuments historiques en 1992. En 1606, construction du clocher.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. Vers 1325, les pères Antonins (Hospitaliers de Saint Antoine) cédèrent la chapelle de leur couvent située alors au milieu du bourg aux habitants de Monteux. C'est autour de cette structure primitive et à partir de cette date que fut édifiée, par agrandissements successifs, et sur les ruines de l'ancien couvent des Antonins, l'église actuelle. La partie la plus ancienne de l'église correspond à la chapelle Saint Joseph d'aujourd'hui. Les chapelles furent élevées à différentes époques par les familles nobles qui y établirent leur sépulture. L'église eut à souffrir considérablement des désordres de la Révolution. En 1827, la Commune fit masquer la toiture par la voûte actuelle en plâtre. Mais c'est à cause de la rareté de sa charpente dans le Sud-est de la France, qu'elle fut inscrite au titre des monuments historiques en 1992. En 1606, construction du clocher.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. "La tête et les mains". Vincent Lievore. 2013.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. Dans les années 1920, pour des raisons d'urbanisme, la façade primitive fut démolie et reconstruite 3,50 m en retrait. La porte d’entrée a 2.64 m de largeur et 5.50 de hauteur. Elle va se rétrécissant, simulant une perspective fuyante.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. Dans les années 1920, pour des raisons d'urbanisme, la façade primitive fut démolie et reconstruite 3,50 m en retrait. La porte d’entrée a 2.64 m de largeur et 5.50 de hauteur. Elle va se rétrécissant, simulant une perspective fuyante.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. L’Eglise est orientée vers l’Est. Sa façade, reconstruite en pierres de taille après 1918, est comme d’ailleurs le reste de l’édifice, d’une simplicité monacale. Son architecture porte les signes de la décadence du style ogival du XIVe siècle. Une imposte  coupe la porte à la naissance de l’arc et supporte un tympan que décore une statue de la Vierge. La porte est de style gothique. Elle est formée de trois colonnettes engagées dans des nervures et soutenant des chapiteaux unis et dégradés.
Le pignon de la façade était, avant 1914, percé d’un oculus, fermé par une verrière. Lors de la réfection du mur de façade, à partir de 1918 trois fenêtres gothiques, ornées de vitraux, furent réalisées enjolivant l’extérieur et éclairant l’intérieur. Ces travaux furent réalisés par M. GILLES, tailleur de pierres, sous la direction de l’architecte Valentin. Le sol de l’église est plus élevé de 0.75m que celui de la place. On accède à l’intérieur par trois marches.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. L’Eglise est orientée vers l’Est. Sa façade, reconstruite en pierres de taille après 1918, est comme d’ailleurs le reste de l’édifice, d’une simplicité monacale. Son architecture porte les signes de la décadence du style ogival du XIVe siècle. Une imposte coupe la porte à la naissance de l’arc et supporte un tympan que décore une statue de la Vierge. La porte est de style gothique. Elle est formée de trois colonnettes engagées dans des nervures et soutenant des chapiteaux unis et dégradés. Le pignon de la façade était, avant 1914, percé d’un oculus, fermé par une verrière. Lors de la réfection du mur de façade, à partir de 1918 trois fenêtres gothiques, ornées de vitraux, furent réalisées enjolivant l’extérieur et éclairant l’intérieur. Ces travaux furent réalisés par M. GILLES, tailleur de pierres, sous la direction de l’architecte Valentin. Le sol de l’église est plus élevé de 0.75m que celui de la place. On accède à l’intérieur par trois marches.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. A l’intérieur de l’édifice, l’église n’a qu’une nef de 40m de longueur, 14m de largeur (hors chapelles) et 15 m de hauteur. La voute en charpente, couverte de tuiles, est soutenue par 4 arcs doubleaux qui prennent croissance à 2,65 m au-dessus du sol et se développent sur un rayon de 11m, jusqu’à la toiture. Les deux côtés de la nef sont flanqués de chapelles qui présentent beaucoup de variétés dans leur construction. Les unes sont gothiques, d’autres romanes. Il y en a de profondes et d’autres sans enfoncement.
Ces variétés montrent que l’église a été élevée avec seulement les deux chapelles attenantes au sanctuaire, tandis que les autres, à l’exception toutefois de celle de Saint Etienne (aujourd’hui Saint Joseph) qui formait le sanctuaire de l’église primitive, n’ont été édifiées qu’au cours des deux siècles suivants par des familles nobles ou des confréries pour y établir leur sépulture et y ériger un autel au St-Patron.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. A l’intérieur de l’édifice, l’église n’a qu’une nef de 40m de longueur, 14m de largeur (hors chapelles) et 15 m de hauteur. La voute en charpente, couverte de tuiles, est soutenue par 4 arcs doubleaux qui prennent croissance à 2,65 m au-dessus du sol et se développent sur un rayon de 11m, jusqu’à la toiture. Les deux côtés de la nef sont flanqués de chapelles qui présentent beaucoup de variétés dans leur construction. Les unes sont gothiques, d’autres romanes. Il y en a de profondes et d’autres sans enfoncement. Ces variétés montrent que l’église a été élevée avec seulement les deux chapelles attenantes au sanctuaire, tandis que les autres, à l’exception toutefois de celle de Saint Etienne (aujourd’hui Saint Joseph) qui formait le sanctuaire de l’église primitive, n’ont été édifiées qu’au cours des deux siècles suivants par des familles nobles ou des confréries pour y établir leur sépulture et y ériger un autel au St-Patron.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. Charpente apparente. Rareté de ce type d'édifices dans le Sud Est.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. Charpente apparente. Rareté de ce type d'édifices dans le Sud Est.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. FONTS BAPTISMAUX.
Au centre, statue de Saint Jacques.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. FONTS BAPTISMAUX. Au centre, statue de Saint Jacques.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. FONTS BAPTISMAUX.
Au premier plan, statue de Saint Etienne.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. FONTS BAPTISMAUX. Au premier plan, statue de Saint Etienne.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINTE THÉRÈSE. D’abord dédiée à Saint Michel, puis à Sainte Philomène en 1846, et actuellement à Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, cette chapelle présente :
au centre, au-dessus de l’autel, un tableau représentant l’Archange Saint Michel terrassant le démon ; de part et d’autre de l’autel, un tableau représentant Sainte Thérèse et un tableau représentant Sainte Rose.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINTE THÉRÈSE. D’abord dédiée à Saint Michel, puis à Sainte Philomène en 1846, et actuellement à Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, cette chapelle présente : au centre, au-dessus de l’autel, un tableau représentant l’Archange Saint Michel terrassant le démon ; de part et d’autre de l’autel, un tableau représentant Sainte Thérèse et un tableau représentant Sainte Rose.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINTE THÉRÈSE. Dans la boiserie, côté droit, une statue de Sainte Marthe.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINTE THÉRÈSE. Dans la boiserie, côté droit, une statue de Sainte Marthe.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINTE THÉRÈSE. Dans la boiserie, côté gauche, le buste de Sainte Barbe dans une niche ; une statue de Sainte Thérèse sur un socle.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINTE THÉRÈSE. Dans la boiserie, côté gauche, le buste de Sainte Barbe dans une niche ; une statue de Sainte Thérèse sur un socle.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINT JOSEPH. Dédiée à Saint Etienne en 1489 et à Saint Joseph depuis 1655, cette chapelle est le seul vestige de l'église des Hospitaliers de Saint Antoine dont elle formait le sanctuaire.
Avant 1789, elle était entièrement recouverte de boiseries sculptées par Bernus et Grangeon de Mazan et dont il ne subsiste que les panneaux droit et gauche. L’autel est surmonté d'une statue de Saint Joseph portant l’Enfant Jésus. Au bas de cet autel sont représentés en médaillon les outils du menuisier.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINT JOSEPH. Dédiée à Saint Etienne en 1489 et à Saint Joseph depuis 1655, cette chapelle est le seul vestige de l'église des Hospitaliers de Saint Antoine dont elle formait le sanctuaire. Avant 1789, elle était entièrement recouverte de boiseries sculptées par Bernus et Grangeon de Mazan et dont il ne subsiste que les panneaux droit et gauche. L’autel est surmonté d'une statue de Saint Joseph portant l’Enfant Jésus. Au bas de cet autel sont représentés en médaillon les outils du menuisier.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINT JOSEPH. Deux tableaux décorent les boiseries : à gauche, Sainte Cécile ;
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINT JOSEPH. Deux tableaux décorent les boiseries : à gauche, Sainte Cécile ;
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINT JOSEPH. et à droite la Sainte Vierge.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE SAINT JOSEPH. et à droite la Sainte Vierge.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DE LA RECONCILIATION.
Construite en 1400 par la famille de Villeneuve, cette chapelle appelée autrefois “petite porte” (car elle servait d’entrée secondaire à l’édifice) a été dénommée successivement chapelle Sainte Marthe, chapelle Saint Louis de Gonzague puis, en dernier lieu, chapelle de la Réconciliation.
Au centre, on découvre, sur une tablette en pierre, la statue de Saint Roch, située primitivement dans l'actuelle chapelle de Saint Marc.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DE LA RECONCILIATION. Construite en 1400 par la famille de Villeneuve, cette chapelle appelée autrefois “petite porte” (car elle servait d’entrée secondaire à l’édifice) a été dénommée successivement chapelle Sainte Marthe, chapelle Saint Louis de Gonzague puis, en dernier lieu, chapelle de la Réconciliation. Au centre, on découvre, sur une tablette en pierre, la statue de Saint Roch, située primitivement dans l'actuelle chapelle de Saint Marc.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DU SACRÉ-CŒUR.
Construite en 1336 et dédiée au Sacré-Cœur depuis 1837, elle porta en premier lieu le titre de chapelle de Saint Gens puis celui de chapelle de Sainte Catherine en 1567.
Elle présente :
au centre, la statue du Sacré-Cœur ; de chaque côté, un confessionnal désaffecté.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DU SACRÉ-CŒUR. Construite en 1336 et dédiée au Sacré-Cœur depuis 1837, elle porta en premier lieu le titre de chapelle de Saint Gens puis celui de chapelle de Sainte Catherine en 1567. Elle présente : au centre, la statue du Sacré-Cœur ; de chaque côté, un confessionnal désaffecté.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DU SAINT- SACREMENT ET DE SAINT GENS.
Construite vers 1300 par l’aïeul du Sieur Pierre de Féléon, cette chapelle a porté le titre de Saint Pierre jusqu'en 1561, époque à laquelle elle fut dédiée au Sain Esprit puis, en 1837, à Saint Gens. Llle devint chapelle du Saint-Sacrement en 1970, lors de l’installation du Maître-Autel tabulaire. Elle présente :
au centre, un tableau représentant la mère de Saint Gens suppliant son fils de revenir à Monteux, œuvre du peintre Lacroix exécutée en 1860 ;
à droite, une fenêtre gothique décorée d'un vitrail datant de 1859.
L’autel actuel en marbre blanc est également de 1859. Il est l’œuvre de Troussel. On peut voir dans sa partie basse trois scènes de la vie de Saint Gens. De gauche à droite :
Saint Gens faisant jaillir l’eau du rocher ; 
Saint Gens labourant avec la vache et le loup ; la mère de Saint Gens l'implorant de revenir à Monteux.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DU SAINT- SACREMENT ET DE SAINT GENS. Construite vers 1300 par l’aïeul du Sieur Pierre de Féléon, cette chapelle a porté le titre de Saint Pierre jusqu'en 1561, époque à laquelle elle fut dédiée au Sain Esprit puis, en 1837, à Saint Gens. Llle devint chapelle du Saint-Sacrement en 1970, lors de l’installation du Maître-Autel tabulaire. Elle présente : au centre, un tableau représentant la mère de Saint Gens suppliant son fils de revenir à Monteux, œuvre du peintre Lacroix exécutée en 1860 ; à droite, une fenêtre gothique décorée d'un vitrail datant de 1859. L’autel actuel en marbre blanc est également de 1859. Il est l’œuvre de Troussel. On peut voir dans sa partie basse trois scènes de la vie de Saint Gens. De gauche à droite : Saint Gens faisant jaillir l’eau du rocher ; Saint Gens labourant avec la vache et le loup ; la mère de Saint Gens l'implorant de revenir à Monteux.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. C’est une abside carrée. Chacun de ses angles était orné d’une colonne en pierre surmontée d’un chapiteau. La voûte est à nervures et sa clef était ornée d'un pendentif.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. C’est une abside carrée. Chacun de ses angles était orné d’une colonne en pierre surmontée d’un chapiteau. La voûte est à nervures et sa clef était ornée d'un pendentif.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. Des boiseries en noyer au-dessus des stalles tapissent les murs jusqu’à trois mètres de hauteur. Ces stalles ont été probablement réalisées, comme celles de Saint Siffrein à Carpentras, en 1843 par Leytier, ébéniste à Monteux. Au fond, une très belle statue de la Vierge.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. Des boiseries en noyer au-dessus des stalles tapissent les murs jusqu’à trois mètres de hauteur. Ces stalles ont été probablement réalisées, comme celles de Saint Siffrein à Carpentras, en 1843 par Leytier, ébéniste à Monteux. Au fond, une très belle statue de la Vierge.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. Dans les piliers des murs de séparation du sanctuaire avec deux chapelles latérales ont été creusées deux niches romanes où furent placés les Saints Patrons de l’église de Monteux : Saint Jean-Baptiste
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. Dans les piliers des murs de séparation du sanctuaire avec deux chapelles latérales ont été creusées deux niches romanes où furent placés les Saints Patrons de l’église de Monteux : Saint Jean-Baptiste
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. et Saint Gens. Au dessous de la niche de Saint Gens, protégé par une grille en fer forgé, on remarque le reliquaire de Saint Gens.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. et Saint Gens. Au dessous de la niche de Saint Gens, protégé par une grille en fer forgé, on remarque le reliquaire de Saint Gens.
33
<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. ANCIENNE CHAPELLE DE SAINT JEAN-BAPTISTE.
De forme gothique, cette chapelle construite en 1326 et dédiée à Saint Jean-Baptiste a été cédée en 1656 à Louis de Merles de Beauchamp. Elle comporte :
à gauche, une porte donnant accès au clocher ; au fond, une porte donnant accès à la sacristie. Celle-ci fut construite en 1565 et agrandie en 1850. Cette porte est surmontée d'une magnifique fenêtre gothique aveugle avec grand encadrement et munie d'un petit vitrail dans les années 1970.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. ANCIENNE CHAPELLE DE SAINT JEAN-BAPTISTE. De forme gothique, cette chapelle construite en 1326 et dédiée à Saint Jean-Baptiste a été cédée en 1656 à Louis de Merles de Beauchamp. Elle comporte : à gauche, une porte donnant accès au clocher ; au fond, une porte donnant accès à la sacristie. Celle-ci fut construite en 1565 et agrandie en 1850. Cette porte est surmontée d'une magnifique fenêtre gothique aveugle avec grand encadrement et munie d'un petit vitrail dans les années 1970.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DE LA SAINTE VIERGE. Installée en 1415 sous le vocable chapelle Saint Jacques, elle devint successivement chapelle du Saint Sacrement de 1616 à 1647 puis chapelle du Rosaire en 1655.
Dans son pavé en marbre se trouvait la sépulture de la famille Bournareau (ascendante de Saint Gens). L'autel est surmonté d'une statue de la Sainte Vierge, entourée de boiseries couvrant le fond de la chapelle et ornée, de différentes moulures représentant symboles et objets sacrés. Les boiseries latérales ont été détruites par un incendie.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DE LA SAINTE VIERGE. Installée en 1415 sous le vocable chapelle Saint Jacques, elle devint successivement chapelle du Saint Sacrement de 1616 à 1647 puis chapelle du Rosaire en 1655. Dans son pavé en marbre se trouvait la sépulture de la famille Bournareau (ascendante de Saint Gens). L'autel est surmonté d'une statue de la Sainte Vierge, entourée de boiseries couvrant le fond de la chapelle et ornée, de différentes moulures représentant symboles et objets sacrés. Les boiseries latérales ont été détruites par un incendie.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. Côté gauche dans une niche, la statue de la Filiation.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. Côté gauche dans une niche, la statue de la Filiation.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DES DÉFUNTS.
Ancienne chapelle de Sainte Ursule (1504) puis de Saint Eloi, elle a été consacrée aux âmes du purgatoire et enfin dédiée en 1924 aux soldats de Monteux morts pour la France à la guerre de 1914-1918 et dont les noms sont inscrits sur deux plaques en marbre. Utilisée autrefois comme dépositoire pour les défunts habitant la campagne, elle a été rétrécie, après cette même guerre, pour des raisons d'alignement. Sur le côté gauche se dresse la statue de Saint Antoine de Padoue.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. CHAPELLE DES DÉFUNTS. Ancienne chapelle de Sainte Ursule (1504) puis de Saint Eloi, elle a été consacrée aux âmes du purgatoire et enfin dédiée en 1924 aux soldats de Monteux morts pour la France à la guerre de 1914-1918 et dont les noms sont inscrits sur deux plaques en marbre. Utilisée autrefois comme dépositoire pour les défunts habitant la campagne, elle a été rétrécie, après cette même guerre, pour des raisons d'alignement. Sur le côté gauche se dresse la statue de Saint Antoine de Padoue.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. En 2009, la Commune fit construire une tribune destinée à recevoir l’orgue de l’Eglise Saint Martin d’Arenc de Marseille « récupéré » par les Amis de l’Orgue. Il s’agit d’un instrument construit par le grand facteur d’orgues Cavaillé-Coll Mutin en 1919. Il encadre les vitraux de Saint Gens et Saint Jean-Baptiste. Tout près des petites portes latérales, deux bénitiers de marbre blanc sont posés sur des colonnes en pierre sculptée.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. En 2009, la Commune fit construire une tribune destinée à recevoir l’orgue de l’Eglise Saint Martin d’Arenc de Marseille « récupéré » par les Amis de l’Orgue. Il s’agit d’un instrument construit par le grand facteur d’orgues Cavaillé-Coll Mutin en 1919. Il encadre les vitraux de Saint Gens et Saint Jean-Baptiste. Tout près des petites portes latérales, deux bénitiers de marbre blanc sont posés sur des colonnes en pierre sculptée.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. Les vitraux de Saint Gens, à droite, et Saint Jean-Baptiste à gauche.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. Les vitraux de Saint Gens, à droite, et Saint Jean-Baptiste à gauche.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth.
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<center>Monteux. </center>L'église Notre-Dame de Nazareth. Statue de NICOLAS SABOLY (1614-1675), prêtre, compositeur et organiste. Cette statue en pierre, œuvre du sculpteur Royer, orna la fontaine Saboly, de 1955 à 2005.
Elle fut élevée par monsieur Gaston Gonnet, maire de Monteux, en remplacement de celle en bronze du sculpteur Amy, datant de 1875 et dérobée par l’occupant allemand avant 1945.
Elle a trouvé sa place dans l’église paroissiale Notre-Dame de Nazareth le 28 avril 2013, lors de la fête de Saint Marc et a été bénite à cette occasion.
Monteux.
L'église Notre-Dame de Nazareth. Statue de NICOLAS SABOLY (1614-1675), prêtre, compositeur et organiste. Cette statue en pierre, œuvre du sculpteur Royer, orna la fontaine Saboly, de 1955 à 2005. Elle fut élevée par monsieur Gaston Gonnet, maire de Monteux, en remplacement de celle en bronze du sculpteur Amy, datant de 1875 et dérobée par l’occupant allemand avant 1945. Elle a trouvé sa place dans l’église paroissiale Notre-Dame de Nazareth le 28 avril 2013, lors de la fête de Saint Marc et a été bénite à cette occasion.
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<center>Monteux. </center> Cette statue est une reproduction de celle de 1875 due au sculpteur Noël Pourtal  et a été installée sur la fontaine Saboly, place de l’église, le 10 décembre 2005 par la Municipalité de monsieur Christian Gros, maire de Monteux.
Monteux.
Cette statue est une reproduction de celle de 1875 due au sculpteur Noël Pourtal et a été installée sur la fontaine Saboly, place de l’église, le 10 décembre 2005 par la Municipalité de monsieur Christian Gros, maire de Monteux.
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<center>Monteux. </center>
Monteux.
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<center>Monteux. </center>
Monteux.
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<center>Monteux. </center> Un soustet.
Monteux.
Un soustet.
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<center>Monteux. </center> </center> Place  Saint Gens. Ornant le mur Est de la place, la Fontaine Saint Gens est surmon-tée d’une statue du Saint Patron de Mon-teux réalisée en 2012 par le sculpteur Noël Pourtal et d’une fresque retraçant sa vie.
Monteux.
Place Saint Gens. Ornant le mur Est de la place, la Fontaine Saint Gens est surmon-tée d’une statue du Saint Patron de Mon-teux réalisée en 2012 par le sculpteur Noël Pourtal et d’une fresque retraçant sa vie.
46
<center>Monteux. A gauche, son départ pour l'ermitage. A droite, son retour à Monteux. Gens BOURNAREAU est né à Monteux en l’an 1104. Il fut chassé de la cité par ses concitoyens auxquels il reprochait leur impiété.
Tout jeune, il partit vivre en ermite au Beaucet, près de Saint-Didier. Il y pria, dans le silence, pour la conversion des Montiliens. Il y vécut du travail de la terre et domestiqua un loup qui avait dévoré une de ses vaches.
Depuis son départ de Monteux, à l'âge de IS ans. le pays souffrait d'une sécheresse sans précédent. A la demande du peuple, Imberte sa mère, les autorités de la ville et le clergé décidèrent de se rendre à l'ermitage du Baucet. Ils supplièrent Gens de revenir à Monteux pour qu'il intercède en faveur de ses compatriotes et de son pays.
Les messagers, épuisés de fatigue et mourant de soif furent désaltérés par une source que Gens fît jaillir du rocher.
Elle coule encore de nos jours et on lui attribue de nombreuses guérisons.
Monteux. A gauche, son départ pour l'ermitage. A droite, son retour à Monteux. Gens BOURNAREAU est né à Monteux en l’an 1104. Il fut chassé de la cité par ses concitoyens auxquels il reprochait leur impiété. Tout jeune, il partit vivre en ermite au Beaucet, près de Saint-Didier. Il y pria, dans le silence, pour la conversion des Montiliens. Il y vécut du travail de la terre et domestiqua un loup qui avait dévoré une de ses vaches. Depuis son départ de Monteux, à l'âge de IS ans. le pays souffrait d'une sécheresse sans précédent. A la demande du peuple, Imberte sa mère, les autorités de la ville et le clergé décidèrent de se rendre à l'ermitage du Baucet. Ils supplièrent Gens de revenir à Monteux pour qu'il intercède en faveur de ses compatriotes et de son pays. Les messagers, épuisés de fatigue et mourant de soif furent désaltérés par une source que Gens fît jaillir du rocher. Elle coule encore de nos jours et on lui attribue de nombreuses guérisons.
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<center>Monteux. </center> Place  Saint Gens. Le grand bâtiment en retrait à l’Ouest de la place fut l’Hôtel de Ville jusqu’en juillet 1958,  date  d’inauguration  de  l’actuelle Mairie.  Dans  les  années  1960-1970,  la place n’existait pas. Dans l’alignement des maisons de la Rue de la République il y avait le Café du Commerce, une mercerie et le cinéma « Le Familia ». L’immeuble qui était situé à l’angle de la Rue de la Répu-blique et de la Rue Saint Gens portait la statue du Saint. Il s’agissait de la maison natale du Saint Patron.
Monteux.
Place Saint Gens. Le grand bâtiment en retrait à l’Ouest de la place fut l’Hôtel de Ville jusqu’en juillet 1958, date d’inauguration de l’actuelle Mairie. Dans les années 1960-1970, la place n’existait pas. Dans l’alignement des maisons de la Rue de la République il y avait le Café du Commerce, une mercerie et le cinéma « Le Familia ». L’immeuble qui était situé à l’angle de la Rue de la Répu-blique et de la Rue Saint Gens portait la statue du Saint. Il s’agissait de la maison natale du Saint Patron.
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<center>Monteux. </center> Les colonnes de Christelle. C’est une œuvre de l'atelier Chrysalide avec le concours de l’accueil jeunes de Monteux dans le cadre d'un projet STREET ART. Hauteur des colonnes 2,40 m. 
Circonférence : 1 m
20 m2 de surface à
Monteux.
Les colonnes de Christelle. C’est une œuvre de l'atelier Chrysalide avec le concours de l’accueil jeunes de Monteux dans le cadre d'un projet STREET ART. Hauteur des colonnes 2,40 m. Circonférence : 1 m 20 m2 de surface à "mosaïquer" Grès Cérame, épaisseur 6 mm (matière première) 2000 carreaux à tailler, Carreaux 10 x 10 cm Environ 33000 morceaux auront été nécessaires pour recouvrir les colonnes, 70 kg de ciment colle, 40 kg de joints.
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<center>Monteux. </center> La paix : représentation du drapeau de la paix aux couleurs de l'arc-en-ciel.
Chrysalide : la chrysalide devient papillon, clin d'œil à « l'atelier chrysalide/mosaïque » de Christelle Lecomte.
Aux vives : l'énergie, la nature, la force.
Niki : hommage à « Niki de Saint-Phalle ».
Monteux.
La paix : représentation du drapeau de la paix aux couleurs de l'arc-en-ciel. Chrysalide : la chrysalide devient papillon, clin d'œil à « l'atelier chrysalide/mosaïque » de Christelle Lecomte. Aux vives : l'énergie, la nature, la force. Niki : hommage à « Niki de Saint-Phalle ».
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<center>Monteux. </center> Feux de Monteux : Monteux, capitale du feu d'artifice.
Miro : hommage au célèbre peintre Joan Miro.
Lego : un montage astucieux de rectangles colorés qui rappellent l’enfance.
Bubble : interprétation du jeu vidéo « Bubble Shooter ».
Monteux.
Feux de Monteux : Monteux, capitale du feu d'artifice. Miro : hommage au célèbre peintre Joan Miro. Lego : un montage astucieux de rectangles colorés qui rappellent l’enfance. Bubble : interprétation du jeu vidéo « Bubble Shooter ».
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<center>Monteux. </center> Un soustet.
Monteux.
Un soustet.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
Monteux.
La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts. Au fond, la tour Clémentine. C'était le donjon du château de Monteux, construit au XIIème siècle. C'est la seule construction qui a résisté à l'incendie qui a détruit ce château en 1415. Son nom lui a été donné en l'honneur du Pape Clément V qui fut l'un de ses possesseurs et qui y séjourna souvent. Son sommet est bordé de créneaux simples.
Monteux.
La Traversée des Arts. Au fond, la tour Clémentine. C'était le donjon du château de Monteux, construit au XIIème siècle. C'est la seule construction qui a résisté à l'incendie qui a détruit ce château en 1415. Son nom lui a été donné en l'honneur du Pape Clément V qui fut l'un de ses possesseurs et qui y séjourna souvent. Son sommet est bordé de créneaux simples.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts. Marianne, de Gérard Braguy. 2013. En roche d'espeil.
Monteux.
La Traversée des Arts. Marianne, de Gérard Braguy. 2013. En roche d'espeil.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts. Marianne, de Gérard Braguy. 2013. En roche d'espeil.
Monteux.
La Traversée des Arts. Marianne, de Gérard Braguy. 2013. En roche d'espeil.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La Traversée des Arts.
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La Traversée des Arts.
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<center>Monteux. </center> La tour Clémentine dans laquelle résida Clément V. Elle mesure vingt-huit mètres de haut et huit mètres de large. Ses murs ont une épaisseur de deux mètres.  Le rez-de-chaussée a servi de prison.
Monteux.
La tour Clémentine dans laquelle résida Clément V. Elle mesure vingt-huit mètres de haut et huit mètres de large. Ses murs ont une épaisseur de deux mètres. Le rez-de-chaussée a servi de prison.
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<center>Monteux. </center> Elle comprend 3 étages et a été rehaussée en 1314. Son sommet est bordé de créneaux simples.
Monteux.
Elle comprend 3 étages et a été rehaussée en 1314. Son sommet est bordé de créneaux simples.
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<center>Monteux. </center>
Monteux.
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<center>Monteux. </center> La porte d’Avignon. Vue de l'intérieur.
Monteux.
La porte d’Avignon. Vue de l'intérieur.
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<center>Monteux. </center> La porte d’Avignon. Vue de l'intérieur. Lla Fontaine de la Porte d’Avignon est une fontaine double, la seconde étant de l’autre côté du mur d’enceinte, Place Henri Barbusse. La  fontaine primitive construite entre 1729 et 1750 fut reconstruite dans les années 1770 à l’emplacement de l’ancienne Porte d’Avignon.
Monteux.
La porte d’Avignon. Vue de l'intérieur. Lla Fontaine de la Porte d’Avignon est une fontaine double, la seconde étant de l’autre côté du mur d’enceinte, Place Henri Barbusse. La fontaine primitive construite entre 1729 et 1750 fut reconstruite dans les années 1770 à l’emplacement de l’ancienne Porte d’Avignon.
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<center>Monteux. </center> La porte d’Avignon. L’époque de construction des remparts de Monteux pourrait remonter au début du XIVe siècle.
Construite en même temps que les remparts, la Porte d’Avignon originelle se trouvait à l’emplacement de la fontaine murale située à gauche de la Porte actuelle. On peut voir son arcature au-dessus de la fontaine.
Monteux.
La porte d’Avignon. L’époque de construction des remparts de Monteux pourrait remonter au début du XIVe siècle. Construite en même temps que les remparts, la Porte d’Avignon originelle se trouvait à l’emplacement de la fontaine murale située à gauche de la Porte actuelle. On peut voir son arcature au-dessus de la fontaine.
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<center>Monteux. </center> La porte d’Avignon. Elle fut rasée en 1695 et remplacée par la Porte actuelle sur des plans de M. Mignard, architecte du Roi de passage à Avignon.
Monteux.
La porte d’Avignon. Elle fut rasée en 1695 et remplacée par la Porte actuelle sur des plans de M. Mignard, architecte du Roi de passage à Avignon.
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<center>Monteux. </center> La porte d’Avignon. Murée en 1695, une nouvelle porte a été édifiée il y a environ 290 ans suivant les plans de Mignard, peintre de la noblesse et du roi Louis XIV. Son aspect d'origine était beaucoup plus flatteur, portant en sculpture les armes du pape et celles de Monteux, mais elles furent brisées en 1792. Cette porte était l'un des lieux importants de la ville et était synonyme de vie.
Monteux.
La porte d’Avignon. Murée en 1695, une nouvelle porte a été édifiée il y a environ 290 ans suivant les plans de Mignard, peintre de la noblesse et du roi Louis XIV. Son aspect d'origine était beaucoup plus flatteur, portant en sculpture les armes du pape et celles de Monteux, mais elles furent brisées en 1792. Cette porte était l'un des lieux importants de la ville et était synonyme de vie.
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<center>Monteux. </center> La porte d’Avignon. L'autre face de la Fontaine double.
Monteux.
La porte d’Avignon. L'autre face de la Fontaine double.
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<center>Monteux. </center> La porte d’Avignon. A gauche de la Fontaine, le lavoir construit entre 1729 et 1750 a disparu.
Monteux.
La porte d’Avignon. A gauche de la Fontaine, le lavoir construit entre 1729 et 1750 a disparu.
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<center>Monteux. </center> L'Hôtel de Ville en tant que tel fut inauguré le 21 juillet 1958, mais la construction du bâtiment remonte aux années 1730.
A cette époque, l'hôpital - Saint Pierre -, situé dans la rue du Château, bénéficia du legs d'une maison rue des Mauves (actuelle rue de l'Hôpital). Les consuls de Monteux profitèrent de celui-ci pour faire de cette maison le nouvel hôpital (actuel Hôtel de Ville). La chapelle de l'hospice St Louis -nouvel hôpital - fut bénie sous le vocable de la Sainte Croix en 1731.
En 1760, la Commune fit placer, au clocher de la chapelle de l'Hôpital, la cloche qui se trouvait au beffroi de la Porte Neuve.
En 1770, une école de filles y fut établie. Dans les jardins qui entouraient cet hospice eurent lieu les premiers essais de la culture de la garance à Monteux. En 1764, le marquis de Seytres-Caumont avait déjà confié à Jean Althen une terre pour ses premiers essais de culture.
L'Hôpital a été fermé de 1793 à 1796 avant de subir un agrandissement en 1840, à l'origine de la grande façade actuelle.
En 1943, l'établissement fut fermé, les religieuses du Très Saint Sacrement de Valence ayant été rappelées. Les troupes allemandes l'occupèrent alors et plus tard les prisonniers Allemands.
Monteux.
L'Hôtel de Ville en tant que tel fut inauguré le 21 juillet 1958, mais la construction du bâtiment remonte aux années 1730. A cette époque, l'hôpital - Saint Pierre -, situé dans la rue du Château, bénéficia du legs d'une maison rue des Mauves (actuelle rue de l'Hôpital). Les consuls de Monteux profitèrent de celui-ci pour faire de cette maison le nouvel hôpital (actuel Hôtel de Ville). La chapelle de l'hospice St Louis -nouvel hôpital - fut bénie sous le vocable de la Sainte Croix en 1731. En 1760, la Commune fit placer, au clocher de la chapelle de l'Hôpital, la cloche qui se trouvait au beffroi de la Porte Neuve. En 1770, une école de filles y fut établie. Dans les jardins qui entouraient cet hospice eurent lieu les premiers essais de la culture de la garance à Monteux. En 1764, le marquis de Seytres-Caumont avait déjà confié à Jean Althen une terre pour ses premiers essais de culture. L'Hôpital a été fermé de 1793 à 1796 avant de subir un agrandissement en 1840, à l'origine de la grande façade actuelle. En 1943, l'établissement fut fermé, les religieuses du Très Saint Sacrement de Valence ayant été rappelées. Les troupes allemandes l'occupèrent alors et plus tard les prisonniers Allemands.
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<center>Monteux. </center> Devant l’Hôtel  de  Ville,  la Fontaine des Droits de l’Homme. Construite lors de l’aménagement de la Place du même nom, elle a été inaugurée le 23 août 2002 en présence de Madame Danielle Mitterrand.
Monteux.
Devant l’Hôtel de Ville, la Fontaine des Droits de l’Homme. Construite lors de l’aménagement de la Place du même nom, elle a été inaugurée le 23 août 2002 en présence de Madame Danielle Mitterrand.
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<center>Monteux. </center> En 2004, à l’issue d’un concours, elle a été surélevée par une œu-vre sculptée de Noël Pourtal qui représente les peuples de la terre.
Monteux.
En 2004, à l’issue d’un concours, elle a été surélevée par une œu-vre sculptée de Noël Pourtal qui représente les peuples de la terre.
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<center>Monteux. </center> En 2004, à l’issue d’un concours, elle a été surélevée par une œu-vre sculptée de Noël Pourtal qui représente les peuples de la terre.
Monteux.
En 2004, à l’issue d’un concours, elle a été surélevée par une œu-vre sculptée de Noël Pourtal qui représente les peuples de la terre.
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<center>Monteux. </center>
Monteux.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Les sites archéologiques de Puymin et de La Villasse, classés Monuments Historiques, sont deux quartiers de la capitale politique du peuple celto-ligure voconce.
Entre 69 et 59, Jules César lui attribua le statut de civitas foederata (cité fédérée, ou « cité alliée » de Rome), et elle prit alors le nom officiel de VASIO JULIA VOCONTIORUM. Avec la paix romaine, l’oppidum de la rive gauche de l’Ouvèze (actuelle Haute-Ville) fut progressivement délaissé. La ville antique se développa, à partir du cours d’eau endigué, sur environ 70 ha, principalement sur la rive droite, où sont accessibles de vastes maisons urbaines (2000 à 5000 m2), des quartiers de boutiques, des thermes publics, un théâtre...
 A la fin du Ier siècle, de grands travaux d’urbanisme sont réalisés. Ils intègrent les propriétés : agricoles voconces qui donnent naissance aux vastes demeures (2000 à 5000 m2). Les vestiges correspondent à des quartiers résidentiels, commerçants et artisanaux. Elle fut à son apogée entre la fin du Ier siècle et la fin du IIe siècle ap. J.-C. et connut des incendies dans le dernier tiers du IIIe siècle. Les quartiers de Puymin et de La Villasse ont été occupés jusqu’à la fin du IVe siècle.
Vaison-La-Romaine.
Les sites archéologiques de Puymin et de La Villasse, classés Monuments Historiques, sont deux quartiers de la capitale politique du peuple celto-ligure voconce. Entre 69 et 59, Jules César lui attribua le statut de civitas foederata (cité fédérée, ou « cité alliée » de Rome), et elle prit alors le nom officiel de VASIO JULIA VOCONTIORUM. Avec la paix romaine, l’oppidum de la rive gauche de l’Ouvèze (actuelle Haute-Ville) fut progressivement délaissé. La ville antique se développa, à partir du cours d’eau endigué, sur environ 70 ha, principalement sur la rive droite, où sont accessibles de vastes maisons urbaines (2000 à 5000 m2), des quartiers de boutiques, des thermes publics, un théâtre... A la fin du Ier siècle, de grands travaux d’urbanisme sont réalisés. Ils intègrent les propriétés : agricoles voconces qui donnent naissance aux vastes demeures (2000 à 5000 m2). Les vestiges correspondent à des quartiers résidentiels, commerçants et artisanaux. Elle fut à son apogée entre la fin du Ier siècle et la fin du IIe siècle ap. J.-C. et connut des incendies dans le dernier tiers du IIIe siècle. Les quartiers de Puymin et de La Villasse ont été occupés jusqu’à la fin du IVe siècle.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center>Quartier de La Villasse. La rue des boutiques. Cet axe commerçant est constitué par une large voie de circulation et par deux passages piétons bordés de boutiques ; celui de l'ouest passait sous l'étage des bâtiments supporté par la colonnade.
Vaison-La-Romaine.
Quartier de La Villasse. La rue des boutiques. Cet axe commerçant est constitué par une large voie de circulation et par deux passages piétons bordés de boutiques ; celui de l'ouest passait sous l'étage des bâtiments supporté par la colonnade.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> La rue des boutiques. Passage piéton couvert par les étages supérieurs appuyés sur la colonnade.
Vaison-La-Romaine.
La rue des boutiques. Passage piéton couvert par les étages supérieurs appuyés sur la colonnade.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Rue des boutiques revêtue de dalles polygonales, encadrée d’un trottoir à l’est et d’un passage piéton à l’ouest, couvert par les étages supérieurs appuyés sur la colonnade.
Vaison-La-Romaine.
Rue des boutiques revêtue de dalles polygonales, encadrée d’un trottoir à l’est et d’un passage piéton à l’ouest, couvert par les étages supérieurs appuyés sur la colonnade.
87
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Statue de Mercure, patron des marchands. Statue en pierre, qui représente le dieu avec ses attributs : les ailerons aux pieds, la tige du caducée à la main gauche, la tortue, sur le piédestal.
Vaison-La-Romaine.
Statue de Mercure, patron des marchands. Statue en pierre, qui représente le dieu avec ses attributs : les ailerons aux pieds, la tige du caducée à la main gauche, la tortue, sur le piédestal.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Statue de Mercure, patron des marchands. Statue en pierre, qui représente le dieu avec ses attributs : les ailerons aux pieds, la tige du caducée à la main gauche, la tortue, sur le piédestal.
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Statue de Mercure, patron des marchands. Statue en pierre, qui représente le dieu avec ses attributs : les ailerons aux pieds, la tige du caducée à la main gauche, la tortue, sur le piédestal.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center>
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<center>Vaison-La-Romaine. </center>
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le Forum. Les édifices qui s’élèvent sur votre gauche, à l’est de la rue des Boutiques, appartenaient au forum de la ville antique. L’esplanade et les bâtiments du forum se développaient vers l’est et le sud sur 70 m de large et au moins 100 m de long. Un vaste secteur en est masqué par les constructions du XXe s. . Le forum est un ensemble de bâtiments religieux et d’institutions municipales organisés autour d’une grande place bordée de portiques sur laquelle se dressent monuments commémoratifs et inscriptions honorifiques.
Vaison-La-Romaine.
Le Forum. Les édifices qui s’élèvent sur votre gauche, à l’est de la rue des Boutiques, appartenaient au forum de la ville antique. L’esplanade et les bâtiments du forum se développaient vers l’est et le sud sur 70 m de large et au moins 100 m de long. Un vaste secteur en est masqué par les constructions du XXe s. . Le forum est un ensemble de bâtiments religieux et d’institutions municipales organisés autour d’une grande place bordée de portiques sur laquelle se dressent monuments commémoratifs et inscriptions honorifiques.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le Forum. A la fin du Ier siècle av. J.-C., un quartier d’habitation a été rasé pour laisser place au forum qui a ensuite été agrandi et embelli au milieu du Ier siècle ap. J.-C. Au nord s’élèvent un podium et un complexe architectural (photo) dédié aux fonctions judiciaire et politique de la cité (basilique et curie). C’est ici également qu’étaient commémorés les évènements marquants de l’Empire et de la cité ; on y honorait l’empereur ainsi que les Vaisonnais illustres
Vaison-La-Romaine.
Le Forum. A la fin du Ier siècle av. J.-C., un quartier d’habitation a été rasé pour laisser place au forum qui a ensuite été agrandi et embelli au milieu du Ier siècle ap. J.-C. Au nord s’élèvent un podium et un complexe architectural (photo) dédié aux fonctions judiciaire et politique de la cité (basilique et curie). C’est ici également qu’étaient commémorés les évènements marquants de l’Empire et de la cité ; on y honorait l’empereur ainsi que les Vaisonnais illustres
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le Forum. Sa grande esplanade dallée est ceinte de portiques. Sous l'arche devait s'élevait une statue.
Vaison-La-Romaine.
Le Forum. Sa grande esplanade dallée est ceinte de portiques. Sous l'arche devait s'élevait une statue.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Les latrines.
Vaison-La-Romaine.
Les latrines.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Les latrines.
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Les latrines.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center>Siège de corporation (anciennement Maison du Buste en Argent). Siège de corporation (anciennement Maison du Buste en Argent)
Cet édifice de 3 600 m2 a été utilisé de la fin le siècle à sa destruction par un incendie à la fin du Ille s. Il tire son nom de la découverte d’un buste masculin en argent (présenté au musée).
Tout d’abord identifié comme une grande domus, des particularités y désignent plutôt le siège d’une corporation (schola) où se tenaient des réunions et le culte associé aux divinités protectrices des membres de la profession qui s’y réunissaient.
Vaison-La-Romaine.
Siège de corporation (anciennement Maison du Buste en Argent). Siège de corporation (anciennement Maison du Buste en Argent) Cet édifice de 3 600 m2 a été utilisé de la fin le siècle à sa destruction par un incendie à la fin du Ille s. Il tire son nom de la découverte d’un buste masculin en argent (présenté au musée). Tout d’abord identifié comme une grande domus, des particularités y désignent plutôt le siège d’une corporation (schola) où se tenaient des réunions et le culte associé aux divinités protectrices des membres de la profession qui s’y réunissaient.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center>Siège de corporation (anciennement Maison du Buste en Argent). - le buste en argent, hommage très rare, en principe réservé aux représentations d’empereurs.
- un fragment de la tête d’une statue monumentale (1,5 fois la grandeur nature) de l’empereur Tibère.
- les autels (Vulcain, jeux, Fortune...) et les éléments sculptés (oscilla...) nombreux et répartis dans tout l’espace renvoient à des célébrations collectives.
- le soin apporté aux circulations (trois entrées, couloirs...), la vaste esplanade portiquée et les grands thermes.
Toutes ces particularités, auxquelles s’ajoute cet emplacement prisé à quelques pas du forum, plaident en faveur d’un bâtiment communautaire et non d’une domus. La statue se trouve dans le vestibule, derrière le péristyle suivi d'un possible lieu de culte.
Vaison-La-Romaine.
Siège de corporation (anciennement Maison du Buste en Argent). - le buste en argent, hommage très rare, en principe réservé aux représentations d’empereurs. - un fragment de la tête d’une statue monumentale (1,5 fois la grandeur nature) de l’empereur Tibère. - les autels (Vulcain, jeux, Fortune...) et les éléments sculptés (oscilla...) nombreux et répartis dans tout l’espace renvoient à des célébrations collectives. - le soin apporté aux circulations (trois entrées, couloirs...), la vaste esplanade portiquée et les grands thermes. Toutes ces particularités, auxquelles s’ajoute cet emplacement prisé à quelques pas du forum, plaident en faveur d’un bâtiment communautaire et non d’une domus. La statue se trouve dans le vestibule, derrière le péristyle suivi d'un possible lieu de culte.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center>Siège de corporation (anciennement Maison du Buste en Argent).
Vaison-La-Romaine.
Siège de corporation (anciennement Maison du Buste en Argent).
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le bureau.
Vaison-La-Romaine.
Le bureau.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center>
Vaison-La-Romaine.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Ensemble thermal et palestre. L'espace central à ciel ouvert, entouré de portiques et doté d'une piscine, correspond à la palestre (terrain d'exercices).
Vaison-La-Romaine.
Ensemble thermal et palestre. L'espace central à ciel ouvert, entouré de portiques et doté d'une piscine, correspond à la palestre (terrain d'exercices).
102
<center>Vaison-La-Romaine. </center>Ensemble thermal et palestre. Les habitués laissaient leurs vêtements dans le vestiaire (apodyterium) au centre,
Vaison-La-Romaine.
Ensemble thermal et palestre. Les habitués laissaient leurs vêtements dans le vestiaire (apodyterium) au centre,
103
<center>Vaison-La-Romaine. </center>Ensemble thermal et palestre. puis passait dans la salle froide (frigidarium)
Vaison-La-Romaine.
Ensemble thermal et palestre. puis passait dans la salle froide (frigidarium)
104
<center>Vaison-La-Romaine. </center>Ensemble thermal et palestre. prolongée par une exèdre dans laquelle se logeait le bassin. De là, ils pouvaient entrer dans les salles chauffées, le tepidarium et le caldarium.
Vaison-La-Romaine.
Ensemble thermal et palestre. prolongée par une exèdre dans laquelle se logeait le bassin. De là, ils pouvaient entrer dans les salles chauffées, le tepidarium et le caldarium.
105
<center>Vaison-La-Romaine. </center>Ensemble thermal et palestre. , le tepidarium
Vaison-La-Romaine.
Ensemble thermal et palestre. , le tepidarium
106
<center>Vaison-La-Romaine. </center>Ensemble thermal et palestre. le caldarium. Le foyer se présentait sous la forme de tunnel reliant l'espace de chauffe à l’hypocauste (sous-sol de la pièce à chauffer). L'air chaud se répandait dans le sous-sol et circulait à l'intérieur des parois du caldarium et du tepidarium par les tubuli (tubes de section rectangulaire tapissant les murs). Le sol des pièces reposait sur des pilettes recouvertes par de grandes briques qui recevaient une épaisse couche de mortier, puis par le revêtement décoratif. Le tout formait un sol suspendu de 30 à 40 cm d'épaisseur. Le baigneur se trempait dans de petits bassins et baignoires collectives
Vaison-La-Romaine.
Ensemble thermal et palestre. le caldarium. Le foyer se présentait sous la forme de tunnel reliant l'espace de chauffe à l’hypocauste (sous-sol de la pièce à chauffer). L'air chaud se répandait dans le sous-sol et circulait à l'intérieur des parois du caldarium et du tepidarium par les tubuli (tubes de section rectangulaire tapissant les murs). Le sol des pièces reposait sur des pilettes recouvertes par de grandes briques qui recevaient une épaisse couche de mortier, puis par le revêtement décoratif. Le tout formait un sol suspendu de 30 à 40 cm d'épaisseur. Le baigneur se trempait dans de petits bassins et baignoires collectives
107
<center>Vaison-La-Romaine. </center>Ensemble thermal et palestre. L'espace de chauffe (praefurnium) était situé dans une cour où s'affairaient les employés chargés de l'entretien du feu.
Vaison-La-Romaine.
Ensemble thermal et palestre. L'espace de chauffe (praefurnium) était situé dans une cour où s'affairaient les employés chargés de l'entretien du feu.
108
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.). C'est une ancienne ferme gauloise. Au centre, le jardin à péristyle.
Vaison-La-Romaine.
Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.). C'est une ancienne ferme gauloise. Au centre, le jardin à péristyle.
109
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) L'atrium est la partie d’une maison antique romaine constituée d’une cour intérieure et le plus souvent entourée d’une galerie couverte et soutenue par deux rangées de colonnes, galerie que l’on nomme portique, commandant la distribution de la maison romaine. Au centre, l'impluvium. Sur les deux supports, une tablette sur laquelle on posait des objets de valeurs.
Vaison-La-Romaine.
Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) L'atrium est la partie d’une maison antique romaine constituée d’une cour intérieure et le plus souvent entourée d’une galerie couverte et soutenue par deux rangées de colonnes, galerie que l’on nomme portique, commandant la distribution de la maison romaine. Au centre, l'impluvium. Sur les deux supports, une tablette sur laquelle on posait des objets de valeurs.
110
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.).  Le bureau.
Vaison-La-Romaine.
Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.). Le bureau.
111
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.)  Le jardin à péristyle avec la bassin central. Derrière, la salle à manger d'été.
Vaison-La-Romaine.
Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) Le jardin à péristyle avec la bassin central. Derrière, la salle à manger d'été.
112
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Salle d'apparat ou salle à manger. Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.). Derrière, le bassin.
Vaison-La-Romaine.
Salle d'apparat ou salle à manger. Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.). Derrière, le bassin.
113
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) Ce viridarium était entouré de portiques. Son long bassin à exèdres, plaqué d’un marbre blanc accentuant la transparence de l’eau, agrémentait la vue depuis les salles nobles de la domus (triclinium d’été).
Vaison-La-Romaine.
Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) Ce viridarium était entouré de portiques. Son long bassin à exèdres, plaqué d’un marbre blanc accentuant la transparence de l’eau, agrémentait la vue depuis les salles nobles de la domus (triclinium d’été).
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) Ce viridarium était entouré de portiques. Son long bassin à exèdres, plaqué d’un marbre blanc accentuant la transparence de l’eau, agrémentait la vue depuis les salles nobles de la domus (triclinium d’été).
Vaison-La-Romaine.
Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) Ce viridarium était entouré de portiques. Son long bassin à exèdres, plaqué d’un marbre blanc accentuant la transparence de l’eau, agrémentait la vue depuis les salles nobles de la domus (triclinium d’été).
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) Ce viridarium était entouré de portiques. Son long bassin à exèdres, plaqué d’un marbre blanc accentuant la transparence de l’eau, agrémentait la vue depuis les salles nobles de la domus (triclinium d’été).
Vaison-La-Romaine.
Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) Ce viridarium était entouré de portiques. Son long bassin à exèdres, plaqué d’un marbre blanc accentuant la transparence de l’eau, agrémentait la vue depuis les salles nobles de la domus (triclinium d’été).
116
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) Son extrémité Est servait également de vivier. Les poissons, pour frayer ou se cacher, trouvaient refuge dans des amphores maçonnées dans les parois. Les cols d’amphores sont encore visibles.
Vaison-La-Romaine.
Maison au Dauphin (Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.) Son extrémité Est servait également de vivier. Les poissons, pour frayer ou se cacher, trouvaient refuge dans des amphores maçonnées dans les parois. Les cols d’amphores sont encore visibles.
117
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Quartier de Puymin. Ce quartier de la ville antique comportait de l’habitat privé (Maison à l’Apollon lauré, Maison à la Tonnelle), des monuments publics (sanctuaire à portiques, théâtre antique) et des secteurs artisanaux. Les vestiges situés à l’est, un sanctuaire et la Maison du Paon, sont fermés au public.
Vaison-La-Romaine.
Quartier de Puymin. Ce quartier de la ville antique comportait de l’habitat privé (Maison à l’Apollon lauré, Maison à la Tonnelle), des monuments publics (sanctuaire à portiques, théâtre antique) et des secteurs artisanaux. Les vestiges situés à l’est, un sanctuaire et la Maison du Paon, sont fermés au public.
118
<center>Vaison-La-Romaine. </center> La Maison à l’Apollon lauré (fin du I e - Ile s. ap. J.-C.) sur laquelle vous vous trouvez, tire son nom de la découverte d’une tête en marbre du dieu des arts couronnée de lauriers. Une partie de la domus est visible sur 2000 m2. Le reste, son entrée principale et les pièces qui pouvaient l’encadrer, une partie de son péristyle et des salles ouvertes sur ses galeries, se trouve encore sous la ville actuelle. Des pièces y sont organisées autour d’une première cour dont on devine à peine la présence d’un petit bassin central autrefois entouré par une mosaïque au décor géométrique noir et blanc (vestige conservé au musée). Cette cour donnait lumière et aération à une probable salle à manger,  mitoyenne avec la cuisine et à une pièce proposée comme le bureau du maître de maison par sa position.
Vaison-La-Romaine.
La Maison à l’Apollon lauré (fin du I e - Ile s. ap. J.-C.) sur laquelle vous vous trouvez, tire son nom de la découverte d’une tête en marbre du dieu des arts couronnée de lauriers. Une partie de la domus est visible sur 2000 m2. Le reste, son entrée principale et les pièces qui pouvaient l’encadrer, une partie de son péristyle et des salles ouvertes sur ses galeries, se trouve encore sous la ville actuelle. Des pièces y sont organisées autour d’une première cour dont on devine à peine la présence d’un petit bassin central autrefois entouré par une mosaïque au décor géométrique noir et blanc (vestige conservé au musée). Cette cour donnait lumière et aération à une probable salle à manger, mitoyenne avec la cuisine et à une pièce proposée comme le bureau du maître de maison par sa position.
119
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Triclinium ou salle à manger. Les grandes demeures du type de la Maison à l’Apollon lauré appartenaient à de riches notables, propriétaires terriens, qui avaient acquis la citoyenneté romaine. L’épigraphie nous apprend que certains Vaisonnais se sont éloignés de leur ville natale pour occuper d
Vaison-La-Romaine.
Triclinium ou salle à manger. Les grandes demeures du type de la Maison à l’Apollon lauré appartenaient à de riches notables, propriétaires terriens, qui avaient acquis la citoyenneté romaine. L’épigraphie nous apprend que certains Vaisonnais se sont éloignés de leur ville natale pour occuper d
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> La cuisine.
Vaison-La-Romaine.
La cuisine.
121
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Evacuation de l'eau.
Vaison-La-Romaine.
Evacuation de l'eau.
122
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Les thermes.
Vaison-La-Romaine.
Les thermes.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Restes de peintures murales.
Vaison-La-Romaine.
Restes de peintures murales.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center>
Vaison-La-Romaine.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Au fond, le mont Ventoux.
Vaison-La-Romaine.
Au fond, le mont Ventoux.
126
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Un cyprès chauve. L
Vaison-La-Romaine.
Un cyprès chauve. L
127
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Maison à l’Apollon lauré. Au fond se trouvait l'entrée. A gauche, le bureau ou tablinum qui donnait sur la cour. Complétement à gauche, un bout du péristyle. La mosaïque se trouve devant la salle à manger. A droite, les cuisines.
Vaison-La-Romaine.
Maison à l’Apollon lauré. Au fond se trouvait l'entrée. A gauche, le bureau ou tablinum qui donnait sur la cour. Complétement à gauche, un bout du péristyle. La mosaïque se trouve devant la salle à manger. A droite, les cuisines.
128
<center>Vaison-La-Romaine. </center> La Maison à la Tonnelle occupe plus de 3000 m2 étagés sur les pentes de la colline. Tout un jeu de sous-sols, de pièces semi-enterrées et d’escaliers devait donc assurer les liaisons entre les niveaux. Elle ouvrait sur le cardo maximus, axe principal nord-est/sud-ouest par deux accès. Cette maison est le résultat de la lente évolution d’une habitation rurale en maison de ville. Elle est organisée autour de nombreuses cours et jardins. Il est probable que les plus belles pièces étaient aménagées aux étages des ailes entourant sur trois côtés le grand jardin.
Vaison-La-Romaine.
La Maison à la Tonnelle occupe plus de 3000 m2 étagés sur les pentes de la colline. Tout un jeu de sous-sols, de pièces semi-enterrées et d’escaliers devait donc assurer les liaisons entre les niveaux. Elle ouvrait sur le cardo maximus, axe principal nord-est/sud-ouest par deux accès. Cette maison est le résultat de la lente évolution d’une habitation rurale en maison de ville. Elle est organisée autour de nombreuses cours et jardins. Il est probable que les plus belles pièces étaient aménagées aux étages des ailes entourant sur trois côtés le grand jardin.
129
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le théâtre. Cavea : partie dotée de gradins et généralement divisés en « moeniana » (groupement de gradins séparés par un couloir de circulation).
Vaison-La-Romaine.
Le théâtre. Cavea : partie dotée de gradins et généralement divisés en « moeniana » (groupement de gradins séparés par un couloir de circulation).
130
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le théâtre. Orchestra : espace plan demi circulaire de 30 m de diamètre. Il était séparé des gradins  par le « balteus », barrière de pierre épaisse.
Vaison-La-Romaine.
Le théâtre. Orchestra : espace plan demi circulaire de 30 m de diamètre. Il était séparé des gradins par le « balteus », barrière de pierre épaisse.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le théâtre.
Vaison-La-Romaine.
Le théâtre.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le théâtre.
Vaison-La-Romaine.
Le théâtre.
133
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le théâtre. Ambulacre : couloir qui qui fait sous les gradins le tour de l'hémicycle.
Vaison-La-Romaine.
Le théâtre. Ambulacre : couloir qui qui fait sous les gradins le tour de l'hémicycle.
134
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le théâtre. Vomitoire : ouverture reliant la cavea à l’ambulacre.
Vaison-La-Romaine.
Le théâtre. Vomitoire : ouverture reliant la cavea à l’ambulacre.
135
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le musée. La Province Narbonnaise.
Vaison-La-Romaine.
Le musée. La Province Narbonnaise.
136
<center>Vaison-La-Romaine. </center> La Maison du Paon a été édifiée au milieu du IIème siècle et abandonnée à la fin du IIIème siècle. Elle était située à l’est de la colline de Puymin, au pied d’un sanctuaire et se présentait semble-t-il comme un vaste bâtiment de plan quadrangulaire (estimée à 2000 m2). L’aile nord avait cinq salles décorées de mosaïques polychromes. Une sixième mosaïque occupait une pièce de l’aile ouest. La cour nord, précédée d’un portique orné d’une colonnade en calcaire noir, était agrémentée d’une fontaine à escalier d’eau plaquée de marbre et protégée par une petite toiture qui faisait face à la pièce dont la mosaïque est présentée ici. Cette mosaïque (33,35 m2) couvrait le sol de la pièce centrale située dans l’axe des deux bassins. Le décor est constitué d’un cercle composé d'hexagones représentant au centre un paon faisant la roue, entouré de deux canards, deux perdrix et deux perroquets. Tout autour, un cadre est formé de carrés curvilignes, de pannetons à clé, de nœuds de Salomon, de peltes. Des quatre panthères marines des écoinçons, il n'en subsiste qu'une car trois angles ont été rénovés dès l'antiquité. Cette réfection faite de culots de plantes et de rinceaux a été réalisée avec des tesselles plus grosses limitées à trois teintes. Elle se repère très vite par son absence de finesse et de polychromie. Deux bandeaux de rinceaux bordent la mosaïque au nord et au sud.
La restauration du XXe siècle a consisté, après dépose du pavement sur un support alvéolé, à combler les lacunes par un mortier lissé où ont été peintes des tesselles en trompe l'œil. Ces parties ont été reconstituées dans des tons plus foncés pour être repérées.
Vaison-La-Romaine.
La Maison du Paon a été édifiée au milieu du IIème siècle et abandonnée à la fin du IIIème siècle. Elle était située à l’est de la colline de Puymin, au pied d’un sanctuaire et se présentait semble-t-il comme un vaste bâtiment de plan quadrangulaire (estimée à 2000 m2). L’aile nord avait cinq salles décorées de mosaïques polychromes. Une sixième mosaïque occupait une pièce de l’aile ouest. La cour nord, précédée d’un portique orné d’une colonnade en calcaire noir, était agrémentée d’une fontaine à escalier d’eau plaquée de marbre et protégée par une petite toiture qui faisait face à la pièce dont la mosaïque est présentée ici. Cette mosaïque (33,35 m2) couvrait le sol de la pièce centrale située dans l’axe des deux bassins. Le décor est constitué d’un cercle composé d'hexagones représentant au centre un paon faisant la roue, entouré de deux canards, deux perdrix et deux perroquets. Tout autour, un cadre est formé de carrés curvilignes, de pannetons à clé, de nœuds de Salomon, de peltes. Des quatre panthères marines des écoinçons, il n'en subsiste qu'une car trois angles ont été rénovés dès l'antiquité. Cette réfection faite de culots de plantes et de rinceaux a été réalisée avec des tesselles plus grosses limitées à trois teintes. Elle se repère très vite par son absence de finesse et de polychromie. Deux bandeaux de rinceaux bordent la mosaïque au nord et au sud. La restauration du XXe siècle a consisté, après dépose du pavement sur un support alvéolé, à combler les lacunes par un mortier lissé où ont été peintes des tesselles en trompe l'œil. Ces parties ont été reconstituées dans des tons plus foncés pour être repérées.
137
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Ce pavement mosaïqué décorait la salle centrale de 1 aile nord de la Maison du Paon. Il s’agit d’un travail de belle facture réalisé avec une pose soignée à grande concentration de tesselles ; les plus petites (2 mm de côté) affinent le dégradé dans les décors polychromes les plus raffinés comme la panthère marine qui ornait à l’origine les quatre écoinçons.
Le dessin de la mosaïque présente deux rallonges symétriques au sud et au nord ornées de rinceaux puis une bordure complexe en pannetons de clés doubles et de carrés successifs avec motifs (restauration grossière antique).
Au centre, un décor circulaire dit en « nid d’abeille » présente six hexagones contenant chacun trois types d’oiseaux deux perdrix, deux canards et deux perroquets se répondent symétriquement autour d’un Paon faisant la roue. Ces représentations sont communes dans l'art romain.
Vaison-La-Romaine.
Ce pavement mosaïqué décorait la salle centrale de 1 aile nord de la Maison du Paon. Il s’agit d’un travail de belle facture réalisé avec une pose soignée à grande concentration de tesselles ; les plus petites (2 mm de côté) affinent le dégradé dans les décors polychromes les plus raffinés comme la panthère marine qui ornait à l’origine les quatre écoinçons. Le dessin de la mosaïque présente deux rallonges symétriques au sud et au nord ornées de rinceaux puis une bordure complexe en pannetons de clés doubles et de carrés successifs avec motifs (restauration grossière antique). Au centre, un décor circulaire dit en « nid d’abeille » présente six hexagones contenant chacun trois types d’oiseaux deux perdrix, deux canards et deux perroquets se répondent symétriquement autour d’un Paon faisant la roue. Ces représentations sont communes dans l'art romain.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Au centre, un décor circulaire dit en « nid d’abeille » présente six hexagones contenant chacun trois types d’oiseaux deux perdrix, deux canards et deux perroquets se répondent symétriquement autour d’un Paon faisant la roue.
Vaison-La-Romaine.
Au centre, un décor circulaire dit en « nid d’abeille » présente six hexagones contenant chacun trois types d’oiseaux deux perdrix, deux canards et deux perroquets se répondent symétriquement autour d’un Paon faisant la roue.
139
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Le paon accompagne plusieurs représentations de Bacchus, en lien avec les cycles du renouveau de la Nature et la Fertilité. Il est aussi un attribut de Junon, déesse du mariage et des amours féconds. Ici ce motif prend une valeur symbolique par la place centrale qu'il occupe dans cette mosaïque, elle-même au cœur de l’aile nord (axe central reliant les deux bassins).
Vaison-La-Romaine.
Le paon accompagne plusieurs représentations de Bacchus, en lien avec les cycles du renouveau de la Nature et la Fertilité. Il est aussi un attribut de Junon, déesse du mariage et des amours féconds. Ici ce motif prend une valeur symbolique par la place centrale qu'il occupe dans cette mosaïque, elle-même au cœur de l’aile nord (axe central reliant les deux bassins).
140
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Devant le bec de la perdrix, à droite, une petite mouche. A gauche, une perruche ou perroquet.
Vaison-La-Romaine.
Devant le bec de la perdrix, à droite, une petite mouche. A gauche, une perruche ou perroquet.
141
<center>Vaison-La-Romaine. </center> La panthère marine qui ornait à l’origine les quatre écoinçons.
Vaison-La-Romaine.
La panthère marine qui ornait à l’origine les quatre écoinçons.
142
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Ces statues impériales (marbre blanc), et principalement le couple Hadrien et Sabine qui est extrêmement rare, sont des références en archéologie. Les fragments découverts au niveau de la scène du théâtre ont permis de rétablir une sculpture d'Hadrien représenté dans la nudité héroïque et de son épouse Sabine. Elles étaient très probablement placées en hauteur dans des niches du mur de scène ce qui explique leurs grandes dimensions (Sabine H. 2, 06 m. Tadrien H. 2, 16 m). La statue de Vaison est l'une des 150 représentations connues d'Hadrien qui sont réparties chronologiquement sur l'ensemble du règne en sept types iconographiques. Ces prototypes officiels, généralement créés à l'occasion d'évènements politiques, étaient ensuite utilisés pour toutes les représentations (y compris sur les monnaies) ce qui permet aujourd'hui de proposer des datations. Les statues d'Hadrien et de Sabine sont ainsi datées de l'année 128 qui correspond à l'acceptation par Hadrien du titre de Pater Patriae, père de la patrie (127-128) et à la célébration des dix premières années de son règne (qui débuta le 11 août 117). 128 correspond aussi à l'année où Sabine reçut le titre d'Augusta.
Vaison-La-Romaine.
Ces statues impériales (marbre blanc), et principalement le couple Hadrien et Sabine qui est extrêmement rare, sont des références en archéologie. Les fragments découverts au niveau de la scène du théâtre ont permis de rétablir une sculpture d'Hadrien représenté dans la nudité héroïque et de son épouse Sabine. Elles étaient très probablement placées en hauteur dans des niches du mur de scène ce qui explique leurs grandes dimensions (Sabine H. 2, 06 m. Tadrien H. 2, 16 m). La statue de Vaison est l'une des 150 représentations connues d'Hadrien qui sont réparties chronologiquement sur l'ensemble du règne en sept types iconographiques. Ces prototypes officiels, généralement créés à l'occasion d'évènements politiques, étaient ensuite utilisés pour toutes les représentations (y compris sur les monnaies) ce qui permet aujourd'hui de proposer des datations. Les statues d'Hadrien et de Sabine sont ainsi datées de l'année 128 qui correspond à l'acceptation par Hadrien du titre de Pater Patriae, père de la patrie (127-128) et à la célébration des dix premières années de son règne (qui débuta le 11 août 117). 128 correspond aussi à l'année où Sabine reçut le titre d'Augusta.
143
<center>Vaison-La-Romaine. </center> DOMITIEN.
Empereur de 81 à 96 ap. J.-C. Le visage a été obtenu en retravaillant une tête de Néron. Au XXe S., elle a été placée sur une statue cuirassée de chef militaire plus ancienne. Sur la poitrine, on trouve une tête de gorgone (sa vue pétrifiait ceux qui la regardaient), au-dessous, Minerve est couronnée par des Victoires. Les lambrequins sont décorés de têtes, de boucliers. L'empereur porte le manteau du commandant en chef (paludamentum) sur l'épaule gauche.
Marbre H 1,84 m Fosse du théâtre.
Vaison-La-Romaine.
DOMITIEN. Empereur de 81 à 96 ap. J.-C. Le visage a été obtenu en retravaillant une tête de Néron. Au XXe S., elle a été placée sur une statue cuirassée de chef militaire plus ancienne. Sur la poitrine, on trouve une tête de gorgone (sa vue pétrifiait ceux qui la regardaient), au-dessous, Minerve est couronnée par des Victoires. Les lambrequins sont décorés de têtes, de boucliers. L'empereur porte le manteau du commandant en chef (paludamentum) sur l'épaule gauche. Marbre H 1,84 m Fosse du théâtre.
144
<center>Vaison-La-Romaine. </center> CLAUDE.
Empereur de 41 à 54. L'empereur, en toge, est couronné de feuilles de chêne, l'ancienne couronne civique républicaine. Il appuyait son bras droit aujourd'hui disparu sur un sceptre haut.
La statue de Claude correspond sans doute à son voyage inachevé vers la Bretagne. Il passa alors sûrement au moins à Orange, et peut-être à Vaison même. Cette effigie de Claude est datée des années 41-46 ap. J.-C. Marbre. Fosse du théâtre
Vaison-La-Romaine.
CLAUDE. Empereur de 41 à 54. L'empereur, en toge, est couronné de feuilles de chêne, l'ancienne couronne civique républicaine. Il appuyait son bras droit aujourd'hui disparu sur un sceptre haut. La statue de Claude correspond sans doute à son voyage inachevé vers la Bretagne. Il passa alors sûrement au moins à Orange, et peut-être à Vaison même. Cette effigie de Claude est datée des années 41-46 ap. J.-C. Marbre. Fosse du théâtre
145
<center>Vaison-La-Romaine. </center> CLAUDE.
Vaison-La-Romaine.
CLAUDE.
146
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Notable municipal. Vêtu de la toge. Statue avec une encoche pour recevoir la tête. Marbre. Fosses du théâtre romain.
Vaison-La-Romaine.
Notable municipal. Vêtu de la toge. Statue avec une encoche pour recevoir la tête. Marbre. Fosses du théâtre romain.
147
<center>Vaison-La-Romaine. </center> Hadrien (né en 76 à Italico. Espagne. Empereur de 117à 138) était un homme de lettre épris de philosophie et d'éloquence qui parlait aussi bien grec que latin. Il a régné plus de 20 ans, perfectionnant l'administration et sécurisant les frontières de l'empire. Des caractéristiques helléniques se retrouvent dans cette sculpture en ronde-bosse d'une grande qualité de modelée : la barbe à la manière des philosophes grecs, la nudité. La couronne végétale à médaillon axial et le manteau impérial sur l'épaule gauche marquent la dignité impériale.
Vaison-La-Romaine.
Hadrien (né en 76 à Italico. Espagne. Empereur de 117à 138) était un homme de lettre épris de philosophie et d'éloquence qui parlait aussi bien grec que latin. Il a régné plus de 20 ans, perfectionnant l'administration et sécurisant les frontières de l'empire. Des caractéristiques helléniques se retrouvent dans cette sculpture en ronde-bosse d'une grande qualité de modelée : la barbe à la manière des philosophes grecs, la nudité. La couronne végétale à médaillon axial et le manteau impérial sur l'épaule gauche marquent la dignité impériale.
148
<center>Vaison-La-Romaine. </center> SABINE.
Statue de l'impératrice Sabine (décédée en 137), épouse de l'empereur HADRIEN Sabine porte la Tunica Muliebris (robe de tissu fin descendant jusqu'aux pieds) avec demi-manches boutonnées.
Sa coiffure est élaborée suivant la mode du IIe siècle, à l’aide de postiches ou cheveux naturels tressés formant un turban sur le haut de la tête et deux diadèmes de cheveux au-dessus du front.
La statue a sans doute été érigée dans le théâtre en même temps que celle d'Hadrien, vers 128 ap. J.-C. Marbre blanc.
Vaison-La-Romaine.
SABINE. Statue de l'impératrice Sabine (décédée en 137), épouse de l'empereur HADRIEN Sabine porte la Tunica Muliebris (robe de tissu fin descendant jusqu'aux pieds) avec demi-manches boutonnées. Sa coiffure est élaborée suivant la mode du IIe siècle, à l’aide de postiches ou cheveux naturels tressés formant un turban sur le haut de la tête et deux diadèmes de cheveux au-dessus du front. La statue a sans doute été érigée dans le théâtre en même temps que celle d'Hadrien, vers 128 ap. J.-C. Marbre blanc.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Buste en argent.
Buste réaliste d'un patricien romain en ronde botta avec les épaules et le départ des bras. Le visage est marqué par l’âge : rides frontales, poches sous des yeux globuleux, pattes d’oies vers les tempes, peau flasque sous le menton. La coiffure s’ordonne en longues mèches à partir du sommet de la tête. Sur la tunique, le personnage porte une toge drapée sur l’épaule gauche. Des détails, comme la barbe et la moustache en petites incisions, le datent de la première moitié du IIIe siècle.
Vaison-La-Romaine.
Buste en argent. Buste réaliste d'un patricien romain en ronde botta avec les épaules et le départ des bras. Le visage est marqué par l’âge : rides frontales, poches sous des yeux globuleux, pattes d’oies vers les tempes, peau flasque sous le menton. La coiffure s’ordonne en longues mèches à partir du sommet de la tête. Sur la tunique, le personnage porte une toge drapée sur l’épaule gauche. Des détails, comme la barbe et la moustache en petites incisions, le datent de la première moitié du IIIe siècle.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> GRAFFITIS DE GLADIATEURS.
Enduits peints datés du milieu du 1er siècle de notre ère par leurs décors rouge ocre à filets d’encadrement.
Maison à la Figure volante.
RÉTIAIRE CONTRE SECUTOR.
Le rétiaire, à gauche, est vêtu d'un pagne (subligaculum) retenu par un ceinturon. Il lance normalement le filet (rete ou jaculum) de la main gauche pour emprisonner son adversaire. Ce bras est équipé d'un système de bandage et d'une haute pièce de métal sur l'épaule qui lui protège le visage. Il a perdu son arme d'attaque, le trident (fuscina), mais tient encore de la main gauche une arme courte.
Le deuxième combattant, le secutor, est armé d'un glaive (gladius). Son bouclier (scutum) gît au sol, au-dessus du trident du rétiaire.
Vaison-La-Romaine.
GRAFFITIS DE GLADIATEURS. Enduits peints datés du milieu du 1er siècle de notre ère par leurs décors rouge ocre à filets d’encadrement. Maison à la Figure volante. RÉTIAIRE CONTRE SECUTOR. Le rétiaire, à gauche, est vêtu d'un pagne (subligaculum) retenu par un ceinturon. Il lance normalement le filet (rete ou jaculum) de la main gauche pour emprisonner son adversaire. Ce bras est équipé d'un système de bandage et d'une haute pièce de métal sur l'épaule qui lui protège le visage. Il a perdu son arme d'attaque, le trident (fuscina), mais tient encore de la main gauche une arme courte. Le deuxième combattant, le secutor, est armé d'un glaive (gladius). Son bouclier (scutum) gît au sol, au-dessus du trident du rétiaire.
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<center>Vaison-La-Romaine. </center> Ce combat oppose un rétiaire à droite à un secutor.
Le rétiaire est armé d’un trident et protégé par la manica et le galerus. Le secutor a la tête casquée et le bras droit bandé par la manica. Il tient un glaive à la main droite et un grand bouclier (scutum) de l’autre.
Au-dessus de la scène, quelques signes d’une inscription sont visibles, NC A puis XII. Il s’agit peut-être du nom des combattants et du nombre de victoires du vainqueur. À gauch
Vaison-La-Romaine.
Ce combat oppose un rétiaire à droite à un secutor. Le rétiaire est armé d’un trident et protégé par la manica et le galerus. Le secutor a la tête casquée et le bras droit bandé par la manica. Il tient un glaive à la main droite et un grand bouclier (scutum) de l’autre. Au-dessus de la scène, quelques signes d’une inscription sont visibles, NC A puis XII. Il s’agit peut-être du nom des combattants et du nombre de victoires du vainqueur. À gauch
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<center>Vaison-La-Romaine. </center>
Vaison-La-Romaine.
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